Les anciens du TRAIT d'UNION. MIMET

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C'était le 50ème !

Compte rendu café des lecteurs n° 50 – 24/09/22

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Vraiment très riche, notre cinquantième édition… et arrosée comme il se doit (grâce à la bouteille offerte par Françoise D. – merci à elle !), pour fêter la longévité du café des lecteurs ainsi que l’arrivée de quatre personnes nouvelles !

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Nous avons commencé par des extraits d’une lecture atypique, une fable savoureuse !

« Bifteck » Martin PROVOST (2010)

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Chez Plomeur, à Quimper, on est boucher de père en fils. En pleine Première Guerre mondiale, le tout jeune André se découvre un don pour faire « chanter la chair » ¿ et pas n'importe laquelle : celle des femmes, dont la file s'allonge devant la boucherie... Leurs hommes partis au front, celles-ci comptent sur André pour goûter au plaisir suprême. Hélas, le conflit touche à sa fin et les maris reviennent. Un matin, le boucher trouve sur le pas de sa porte un bébé gazouillant dans un panier en osier, puis un deuxième, un troisième... Du jour au lendemain, le voilà père de sept enfants, et poursuivi par un époux jaloux décidé à lui faire la peau. Avec la chair de sa chair, André s'enfuit à Concarneau et affrète un bateau. Direction l'Amérique !

Martin Provost (réalisateur du film « Séraphine » avec Yolande Moreau) sort des sentiers battus pour nous proposer une fable savoureuse, où il est question de sensualité, de paternité et du rapport à notre terre nourricière. Il y a du Gargantua et du Robinson Crusoë dans ce Bifteck exquis et étonnant, à consommer sans modération !

 

Nous avons enrichi notre série commencée en juillet sur les différents regards sur nous, les français ou sur d’autres peuples …

« Sacrés Français ! Un Américain nous regarde » (2004)

« Sacrés Américains ! Nous, les Yankees, on est comme ça» (2005)  Ted STANGER

« Sacrés italiens » Alberto  TOSCANO (2014)

« American rigolos » Bill  BRYSON (2016)

« Pas si fous ces français » JB.NADEAU, J.BARLOW (2005)

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« Sacrés Français !» : Truffé d'anecdotes, impertinent et drôle, sans complaisance et volontiers polémique, « Sacrés Français ! » fait à la fois rire et réfléchir. Impossible de ne pas se reconnaître dans ce miroir qu'il nous tend.

Les Français sont-ils anti-Américains ? Les Américains sont-ils francophobes ?

Evoquant aussi bien les relations internationales et la culture, que la cuisine et les médias, Ted Stanger livre ce qu'il a sur le coeur depuis dix années de concubinage volontaire avec l'Hexagone. Décapant !

 « Sacrés Américains !» : À l'issue de dix années passées en France, notre Yankee parisien est retourné chez lui, dans l'Ohio, et nous livre ses impressions sur une Amérique qu'il ne reconnaît plus. Abordant des thèmes graves ou légers illustrés par de nombreuses anecdotes, il brosse, sur le ton ironique et distancié qui le caractérise, le portrait de l'Amérique profonde, décryptant avec humour le système électoral diaboliquement complexe de ce pays où les lois changent d'un État à l'autre. Il raconte la patrie du dieu dollar et des fous de Dieu; l'apocalypse gastronomique qui sévit au pays du fast-food et nous menace déjà...

« Pas si fous ces français » : Deux journalistes, canadien et québécois, ont passé plus de deux ans à observer et à tenter de comprendre la culture française. Les auteurs ont passé au crible nos réflexes culturels, de notre supposée arrogance à notre culte de l’État et des grands hommes, notre passion pour la laïcité, ou notre penchant pour les manifestations. Ils ont étudié la façon dont les Français inventent l’exception culturelle, prétendent résister à la mondialisation, tournent leurs phrases...

« Sacrés italiens » : Italien installé en France depuis de longues années, Alberto Toscano nous offre ici un livre personnel, léger et plein d'humour. A travers des scènes cocasses ou des portraits savoureux, il passe en revue les clichés véhiculés par son pays de naissance : pâtes, Vespa, Ferrari, Berlusconi... Ni rivaux historiques, ni alliés capricieux ? Qui sont vraiment ces chers voisins héritiers des Romains ?

 « American rigolos” : De retour aux États-Unis après avoir vécu vingt ans en Angleterre, Bill Bryson va d'étonnement en étonnement. Rien n'échappe à son irrésistible sens de l'humour et de l'observation, mais pas non plus à son manque de sens pratique : l'administration, les supermarchés, la publicité, les séries télé, l'informatique, le jardinage…

Recommandés par Catherine

 

-  « Fille »  Camille LAURENS (2020)

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Laurence Barraqué grandit avec sa sœur dans les années 1960 à Rouen. "Vous avez des enfants? demande-t-on à son père. – Non, j’ai deux filles", répond-il. Naître garçon aurait sans doute facilité les choses. Un garçon, c’est toujours mieux qu’une garce. Puis Laurence devient mère dans les années 1990. Être une fille, avoir une fille : comment faire ? Que transmettre ?

L’écriture de Camille Laurens atteint ici une maîtrise exceptionnelle qui restitue les mouvements intimes au sein des mutations sociales et met en lumière l’importance des mots dans la construction d’une vie.

Recommandé par Huguette

 

« Les mille maisons du rêve et de la terreur » Atiq RAHIMI (2002)

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En persan « mille maisons » désigne le labyrinthe, cette étendue où issue et impasse se confondent; le temps s'arrête, l'obscurité et la terreur s'installent. Et la moindre tache blanche évoque le soleil. Au temps des dictatures, Kaboul et l'Afghanistan tout entier n'étaient-ils pas cette étendue, ce labyrinthe? Cinq personnages pris dans la nasse essaient d'échapper à la terreur par l'ivresse ou la folie, par la mort, par l'amour.

Recommandé par Virginie

 

-  « Ourika » Claire de DURAS (1823)

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Ourika est une jeune orpheline sénégalaise que Mme de B. a sauvé de l'esclavage en la recueillant et en l'élevant comme sa propre fille.

Pourtant, Ourika est différente, c'est ce qu'elle apprend à l'âge de douze ans, en entendant une conversation qu'elle écoute sans être vue. Elle se rend compte alors qu'elle ne pourra pas se marier et qu'elle est condamnée à rester seule à cause de sa couleur et de son éducation. Elle se rend finalement compte qu'elle est amoureuse de Charles, le petit fils de Mme de B, qui ne la voit que comme une sœur et qui se marie avec une autre. Seule et désespérée, Ourika se tourne vers Dieu et devient alors religieuse dans un couvent. Elle finit par mourir au couvent de ses peines et de ses chagrins, après avoir raconté la fin de son histoire au médecin.

Recommandé par Virginie

 

-  « Les flammes de Pierre » Jean-Christophe RUFIN (2021)

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"Rémy et Laure partageaient le sommet de Croisse-Baulet et, si modeste qu'il fût, il faisait pour eux de cet instant un moment inoubliable. Rémy connaissait trop la force de cette communion pour y mêler les gestes minuscules de l'amour. Il sentait que son désir était partagé, que cette émotion avait la valeur d'une étreinte et que Laure, pas plus que lui, ne pourrait l'oublier. Tout devait garder son ampleur, sa grâce. Les petites effusions, les maladroites caresses humaines, dans ces décors de lumière, d'espace et de vent, sont dérisoires et même insupportables. Il fallait laisser l'esprit se mouvoir sans contraintes. Le regard était suffisant pour exprimer l'émoi et celui de Laure parlait sans ambiguïté. Ils retirèrent les peaux de phoque des skis, réglèrent les fixations pour la descente et raccourcirent les bâtons. Puis, sans se hâter, l'esprit plein d'un moment qu'il était inutile de faire durer tant il était saturé d'infini, ils s'élancèrent dans la pente."

Recommandé par Philippe et Michèle

 

« Envers et contre tout ; Chronique illustrée de ma vie au goulag » Euphrosinia  KERSNOVSKAÏA (2021) (Roman graphique)

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Alors qu'elle est à peine âgée de trente ans, Euphrosinia Kersnovskaïa voit l'URSS imposer le joug soviétique à la Bessarabie, où sa famille s'est installée après la révolution. Victime de la collectivisation, Euphrosinia perd tout. Très vite, elle est envoyée sur un chantier d'abattage de bois en Sibérie. Elle s'évade, erre des mois seule dans la taïga, puis finit par être arrêtée et condamnée à des années de camp – pour finalement travailler dans des mines de charbon. Une fois libre, elle produit cette œuvre inouïe : un récit où le témoignage écrit cohabite avec des dessins réalisés sur des cahiers d'écolier – en illustrant elle-même son histoire, elle restitue dans les moindres détails les scènes dont elle a été témoin et auxquelles elle a participé. « 

Recommandé par Laurence

 

-  « Les damnés de la commune » Raphaël MEYSSAN  (2017)

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Parti à la recherche de Lavalette, le narrateur rencontre Victorine, dont le témoignage bouleversant l'accompagne dans sa quête. Tandis que sa ville se charge peu à peu d'histoires, il découvre les années de tourments qui ont conduit à la révolution de 1871. Témoignage exceptionnel sur la Commune de Paris, ce roman graphique, réalisé à base de gravures du XIXe siècle, présente la manière dont l'époque se voyait elle-même.

Recommandé par Laurence

 

-  « La chorale des maîtres bouchers » Louise ERDRICH (2005)

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1918. De retour du front, Fidelis Waldvogel, un jeune soldat allemand, décide de prendre un nouveau départ et de tenter sa chance en Amérique. Avec une valise de couteaux de boucherie héritée de son père pour seul bagage, il s'arrête à Argus, dans le Dakota du Nord, où sa femme et leur petit garçon le rejoignent. Fidelis découvre le Nouveau Monde en travaillant comme un forcené et en chantant le soir dans un choeur d'hommes : « la chorale des maîtres bouchers ». Mais l'aventure des Waldvogel ne va vraiment débuter qu'après la rencontre d'un couple improbable et lui aussi émigré... Ainsi commence l'extraordinaire destin d'une famille germano-américaine, des années vingt aux années cinquante, entre l'Europe et l'Amérique. A la frontière du réalisme et de la magie, Louise Erdrich nous plonge dans son puissant univers imaginaire pour nous raconter le « rêve américain » de sa voix de poète.

Recommandé par Anne

 

- « Tout cela, je te le donnerai » (2018) 

« La face nord du cœur » (2022) Dolorès REDONDO

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« Tout cela, je te le donnerai » : " Álvaro est mort. " À force de le répéter, peut-être Manuel Ortigosa finira par l'accepter. Son mari est mort. Un banal accident de voiture en Galice, selon la police. Mais le romancier à succès n'en croit rien. Il se rend dans ce bout du monde aussi sublime qu'archaïque où commence pour lui un vrai chemin de croix. Car Álvaro était loin d'être celui qu'il croyait... Manuel plonge alors dans les arcanes d'une aristocratie où la cupidité le dispute à l'arrogance. Il lui faudra toute sa ténacité pour affronter les secrets impunis, pour lutter contre ses propres démons, et apprendre qu'un rire d'enfant peut mener à la vérité aussi sûrement que l'amour.

- « La face nord du cœur » (de la même série que la trilogie du Baztan) : Amaia Salazar, détachée de la Police forale de Navarre, suit une formation de profileuse au siège du FBI dans le cadre d'un échange avec Europol. L'intuition singulière et la perspicacité dont elle fait preuve conduisent l'agent Dupree à la lancer sur les traces d'un tueur en série qui profite des catastrophes naturelles pour assassiner des familles entières. Alors que l'ouragan Katrina s'apprête à dévaster le sud des États-Unis, le compte à rebours pour identifier celui qu'on surnomme le Compositeur est enclenché...

Recommandés par Anne, Patrick, Evelyne, Catherine

 

« Rosa Candida » Audur Ava OLAFSDOTTIR (2007)

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Quand Arnljótur quitte son Islande natale pour le continent et la plus célèbre roseraie du monde, il laisse derrière lui son frère jumeau autiste, son octogénaire de père et la tombe de sa mère, décédée dans un accident de voiture. Il emporte la passion qu'il partageait avec cette dernière, le jardinage, sa philosophie et la culture d'une variété de rose à huit pétales apparentée à Rosa candida. Y a-t-il un avenir dans les roses pour un jeune homme d'aujourd'hui ? Si Rosa candida ferraille contre la banalité du quotidien, c'est sans l'ombre d'une amertume, d'une méchanceté, d'une rancoeur. Ici tout est liberté, art de vivre.

Recommandé par Françoise D. et Catherine

 

« Se souvenir de Sébaïn » Anne-Marie LANGLOIS (2003)

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Paul Dumourier a repris l'exploitation familiale près d'Alger, développant Sébaïn, le domaine qu'avait créé son père. Loin d'adopter les coutumes coloniales, il a tissé de très forts liens d'amitié avec les familles ouvrières qui travaillent pour lui et a toujours souhaité se partager entre ces deux mondes.

Mais, dans les années 50, l'idéalisme et l'insouciance ont fait place à l'inquiétude. Les attaques se succèdent, les militaires envisagent de rejoindre l'OAS, les ouvriers désertent, les amis sont égorgés, et les colons vont se retrouver dans la douloureuse situation d'apatrides. Ni français, ni algériens, ils seront pieds-noirs, souvent réduits à la misère à leur retour en France pour n'avoir pas prévu les lendemains qui déchantent.

 « Se souvenir de Sébaïn » renoue avec la tradition du roman épistolaire pour nous offrir le destin tragique d'une famille marquée par l'Histoire.

Recommandé par Françoise D. et Catherine

 

« Les impatientes » Djaïli Amadou AMAL (2020)

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Trois femmes, trois histoires, trois destins liés.

Ce roman polyphonique retrace le destin de la jeune Ramla, arrachée à son amour pour être mariée à l'époux de Safira, tandis que Hindou, sa soeur, est contrainte d'épouser son cousin.
Patience ! C'est le seul et unique conseil qui leur est donné par leur entourage, puisqu'il est impensable d'aller contre la volonté d'Allah. Comme le dit le proverbe peul : « Au bout de la patience, il y a le ciel. » Mais le ciel peut devenir un enfer. Comment ces trois femmes impatientes parviendront-elles à se libérer ?

Recommandé par Françoise D.

 

« La femme révélée » Gaëlle NOHANT (2020)

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Paris, 1950. Eliza Donneley se cache. Elle a abandonné brusquement une vie dorée à Chicago, un mari fortuné et un enfant chéri, emportant son Rolleiflex et la photo de son petit garçon.

Au fil des rencontres, elle trouve un job de garde d’enfants et part à la découverte d’un Paris au son des clubs de jazz de Saint-Germain-des-Prés. A travers l’objectif de son appareil photo, Violet apprivoise la ville, saisit l’humanité des humbles et des invisibles.
Mais comment vivre traquée, déchirée par le manque de son fils et la douleur de l’exil ?

Et comment, surtout, se pardonner d’être partie ?

Vingt ans plus tard, au printemps 1968, Violet peut enfin revenir à Chicago. Elle retrouve une ville chauffée à blanc par le mouvement des droits civiques, l’opposition à la guerre du Vietnam et l’assassinat de Martin Luther King. Partie à la recherche de son fils, elle est entraînée au plus près des émeutes qui font rage au cœur de la cité.

Recommandé par Catherine

 

« La chambre aux échos » Richard POWERS (2006)

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« La chambre aux échos » Par une nuit d'hiver, sur une petite route du Nebraska, Mark Schluter est victime d'un grave accident de voiture. Sa sœur aînée, Karin, revient dans sa ville natale pour être à son chevet. Mais lorsque Mark sort du coma, il semble ne plus la reconnaître. Karin fait alors appel à Gerald Weber, un célèbre neurologue, spécialiste des troubles singuliers du cerveau.

Alors que Weber étudie son cas, Mark essaye de reconstituer peu à peu ce qui s'est passé la fameuse nuit de son inexplicable accident et d'identifier le témoin anonyme qui lui a sauvé la vie avant de disparaître en laissant une étrange note.

Ce qu'il va découvrir changera à jamais sa vie, celle de sa sœur et celle de Weber.

Ce roman aborde la question de l'identité et de la condition humaine, sans jamais se départir d'un remarquable sens du récit et de l'intrigue.

Recommandé par Catherine qui vous invite à découvrir cet auteur très puissant !

 

« Lettre d’amour sans le dire » Amanda STHERS (2020)

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Alice a 48 ans, c’est une femme empêchée, prisonnière d’elle-même, de ses peurs, de ses souvenir douloureux (origines modestes, native de Cambrai, séduite et abandonnée, fille-mère, chassée de chez elle, cabossée par des hommes qui l’ont toujours forcée ou ne l’ont jamais aimée).

Tout change un beau jour lorsque, ayant fait halte dans un salon de thé, Alice est révélée à elle-même par un masseur japonais d’une délicatesse absolue qui la réconcilie avec son corps et lui fait entrevoir, soudain, la possibilité du bonheur.

Cet homme devient le centre de son existence : elle apprend le japonais, lit les classiques nippons afin de se rapprocher de lui. Enfin, par l’imaginaire, Alice vit sa première véritable histoire d’amour. Pendant une année entière, elle revient se faire masser sans jamais lui signifier ses sentiments, persuadée par quelques signes, quelques gestes infimes qu’ils sont réciproques. Le jour où elle maitrise assez la langue pour lui dire enfin ce qu’elle ressent, l’homme a disparu...

D’où la lettre qu’elle lui adresse, dans laquelle elle se raconte et avoue son amour. Tendre, sensuelle, cette lettre est le roman que nous avons entre les mains : l’histoire d’un éveil. Ce qu’Alice n’a pas dit, elle l’écrit magnifiquement. Prête, enfin, à vivre sa vie.

Recommandé par Françoise B.

 

« Mille jours en Toscane » Marlena De BLASI (2011)

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Après un double coup de foudre dans un bar de Venise et un mariage romantique à l'église du Lido, Marlena, dynamique critique gastronomique américaine, et Fernando, son Vénitien de mari, ont décidé, mille jours plus tard, de s'installer en Toscane. À San Casciano, à peine deux cent cinquante habitants, ils vont vite être la coqueluche des villageois. On s'échange des recettes de cuisine (soigneusement consignées dans ce livre), on fait ensemble les vendanges, la récolte des châtaignes, la cueillette des olives, la chasse aux cèpes et aux truffes. Et Marlena, avec un enthousiame communicatif, nous fait aussi participer à toutes les fêtes locales dans des pages pleines de saveurs, d'odeurs et de couleurs.

 

Prochain café des lecteurs : samedi 5 novembre et d’ici-là, faites de bonnes lectures 



29/09/2022
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